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Archive pour le 9 mars, 2013


le roman « hé hé hé c’est moi qui l’ai tué »vient de paraitre aux éditions Rouh Constantine; ahmed bencherif

9 mars, 2013
presse | 3 réponses »

j’ai l’immense plaisir d’annoncer à mes lecteurs la parution de mon nouveau roman  » hé hé hé c’est moi qui l’ai tué »  vous trouverez ci-dessous le texte de la quatrième couverture

Le romancier, Ahmed Bencherif, reconstitue les fragments de souvenirs qui  estampent  sa ville natale Ain-Sefra  dont des figures symboliques  esquissent  la mémoire. Il rend hommage à des personnages légendaires dont la société recherchait la compagnie par les joies qu’ils créaient, les énigmes qu’ils posaient. Ils évoluaient dans leur espace naturel, jamais refoulés, ni honnis. Ils sont nombreux : c’est un frappeur de l’œil, dont le phénomène échappe à l’analyse scientifique ; c’est un mythomane qui raconte plaisamment ses anecdotes, un maraudeur intégré socialement pour nourrir sa famille nombreuse, un idiot qui surprenait ses détracteurs .L’auteur sauvegarde l’âme de la cité chérifienne en la tissant dans une poétique de l’espace et en suivant la trace d’un personnage omniscient. Il s’agit du vaniteux dont la construction de la personnalité cadençait et poussait la trame vers un conflit psychologique du personnage principal qui se projetait vers une ambition héroïque. C’est Mohamed qui avait cru à sa victoire sur soi-même, en se forgeant un personnage qu’il n’était pas. Il assume son propre rôle pour se distinguer et nourrir la chronique du village, ébranlé par un meurtre sur la personne d’un légionnaire qui incarnait le mal. L’analyse psychanalytique soutenait la quête du vaniteux vers un meilleur personnage plus attrayant, plus renommé, pour être le meilleur et rien que le meilleur. Voilà alors qu’un meurtre est commis sur la personne d’un légionnaire qui incarnait le tyranneau des bistrots, de la caserne, de la rue. Mohamed se culpabilise et va au bout de sa propre logique psychologique.

 

 

 

                                                                                  Hafida Bencherif

 

Professeur de lettres françaises

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