- Accueil
- > les odes de l'amour
- > Brune, Ahmed Bencherif
Brune
Que dire ? Si ce n’est Femme fatale,
La brune légère comme la gazelle
D’une patrie nordique ou orientale
A l’esprit aérien, aux traits d’aquarelle,
Aux yeux noirs, comme du miel foncé,
Aux cheveux d’ébène, effleurant tes cimes,
A la gorge diaphane, de couleur nuancée
Aux pieds gracieux, écrivant des rimes.
Que dire ? Si ce n’est Femme fatale,
Prometteuse d’amour aux chansons divines,
Du nectar saoulant dans un verre de cristal,
D’ombrage remède sous ton exquise ligne,
Du souffle de la vie, sur ta peau en hâle
De havre lyrique sur tes belles collines.
Qui ne t’a aimée aura été le malchanceux,
Prisonnier du remords, l’éternel assoiffé,
Toi, l’amour Majesté, à l’élixir mousseux,
Toi, ma conquête idyllique, mon trophée.
extr les vagues poétiques
Fil RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.